Facteurs de risque Alzheimer

Trisomie 21 et Alzheimer- L’une attirant l’autre ?





trisomie 21

Selon un modèle cellulaire établi par des chercheurs britanniques, les patients de la Trisomie 21 présentent un risque accru de développer la maladie d’Alzheimer dès un très jeune âge. En effet, ces deux maladies partagent une pathologie similaire. Développement précoce de l’Alzheimer Les experts de santé estiment que les enfants trisomiques peuvent devenir victime de la maladie d’Alzheimer dès l’âge de 10 ans. Ce phénomène troublant est relatif aux similarités qui unissent ces deux maladies. A titre d’exemple, les patients trisomiques et ceux d’Alzheimer présentent la même quantité de protéines « tau phosphorylées » (substance qu’on retrouve dans le cerveau). Plusieurs études démontrent que ces substances sont relatives aux troubles de la mémoire et à l’amnésie. Pour rappel, l’Alzheimer est une maladie neuro-dégénérative qui entraîne une perte de mémoire et d’autonomie. Les patients deviennent confus et nécessitent souvent une assistance pour effectuer les tâches quotidiennes (manger, se nettoyer, s’habiller). Source   Lire la suite…


Les tranquillisants et somnifères augmentent les risques d’Alzheimer





Si les Témesta, Lexomil, Tranxène, Stilnox et autres médicaments sont grandement utilisés en France, une étude vient de donner des nouvelles alarmantes concernant ces mêmes tranquillisants et somnifères. Ceux qui prennent ces médicaments durant des années sont plus vulnérables au risque de survenue de la maladie d’Alzheimer. Les benzodiazépines Ces médicaments psychotropes sont composés de benzodiazépines. Chaque année, le nombre de cas d’Alzheimer causés par les benzodiazépines est de 16 000 à 31 000. Pourtant, ce n’est certainement pas la première fois qu’une telle alerte est émise sur les risques liés à ces médicaments sur la santé publique. Le professeur Bernard Bégaud, auteur de l’étude, souligne que c’est la neuvième étude conduite ayant établi un rapport entre la consommation à long terme de somnifères et de tranquillisants, et la maladie d’Alzheimer. Les utilisateurs de ces médicaments sont trop nombreux en France. Il est même question d’une surconsommation, soit 120 millions   Lire la suite…


Après le tabac, le diabète et l’hypertension encouragent le déclin cognitif





declin cognitif

Une étude réalisée par des chercheurs américains auprès de 1352 personnes ne souffrant d’aucune forme de démence, démontre que les sujets exposés au tabac, au diabète, à l’hypertension sont plus à risques de développer des troubles au cerveau. Une affection du cerveau garantie Au début de l’étude, les participants ont été soumis à des examens permettant d’analyser la pression artérielle et le taux de cholestérol. Le tour de taille ainsi que l’indice de masse corporelle ont aussi été exigés. Ces tests ont été menés en complément d’un test visant à connaitre l’état diabétique de chaque participant. Menée au bout de 7 ans, chez les personnes âgées en moyenne de 54 ans, cette étude a aussi incité un examen par IRM vers la fin de l’étude. Résultats : Les zones blanches du cerveau se développaient plus rapidement chez les patients souffrant d’hypertension, affectant ainsi leur capacité à mémoriser les choses, à établir   Lire la suite…


Fumer entre 50 et 60 ans favorise l’apparition de la maladie d’Alzheimer





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Si le lien entre le tabac et le cancer ou les maladies-cardiovasculaires est connu depuis des années, une équipe de recherche finlandaise, rendue publique lundi divulgue un lien entre la maladie d’Alzheimer et le tabac. En effet, selon les chercheurs, un gros fumeur âgé entre 50 et 60 ans est plus enclin à développer la maladie d’Alzheimer ou une autre forme de démence plusieurs années après. Fumer : un facteur clé de la démence L’étude réalisée auprès de 21 123 participants révèle que les malades ayant fumé au moins deux paquets de cigarette par jour, possédaient un risque élevé de développer la maladie d’Alzheimer contrairement aux non-fumeurs. En revanche, ceux fumant dix cigarettes quotidiennement et des anciens fumeurs dans la cinquantaine n’ont pas présenté le risque de développer toute forme de démence, incluant la maladie d’Alzheimer. Selon les chercheurs, le fait de fumer représente un facteur de risque d’attaque cérébrale   Lire la suite…