A titre indicatif, les pathologies cardiovasculaires, l’âge et le sexe s’avèrent être à l’origine de la maladie d’Alzheimer. De nouveaux éléments à risque viennent toutefois d’être décelés.
Corrélation entre l’aluminium et Alzheimer
Le lien éventuel entre l’aluminium et la maladie d’Alzheimer est encore soumis à des travaux de recherche. Des expériences pratiquées sur les animaux ont démontré les effets toxiques des injections d’aluminium sur le système neurologique. Des taux élevés d’aluminium, présents dans les fluides essentiels au bon mécanisme rénal ont été attribués à des cas de folie comprenant une diminution des facultés cognitives.
Mode d’alimentation
L’ingestion de soja serait bénéfique aux femmes. Cet état des lieux s’explique du fait que le soja comprend des isoflavones qui s’apparentent à des hormones femelles d’origine végétale. Il a été constaté qu’une carence en vitamines B9 et B12, serait intrinsèquement liée à l’évolution de la maladie d’Alzheimer. Globalement, il peut être affirmé que le mode alimentaire durant l’enfance ou l’adolescence, aurait une action décisive sur le surgissement futur de la pathologie.
Traumatismes crâniens
Des recherches ont indiqué que des chocs au niveau du crâne pendant la jeunesse, accroissent le risque de surgissement de l’affection ultérieurement. Les scientistes se sont focalisé sur des boxeurs souffrant d’un syndrome de démence graduelle, appelé démence pugilistique. Le système cérébral de ces sportifs comporterait molécules altérées semblables à celles de la pathologie d’Alzheimer.